Jgoun

Enfant, je découvre le plaisir de peindre, de 12 à 18 ans, quelques reproductions de peintres connus : Courbet, Corot …, puis pendant 45 ans … plus rien, activité professionnelle sérieuse : maçonnerie, constructions, architecture !

A 60 ans, retour à la peinture toujours figurative, réaliste, pas à la mode ! Mais simplement des coups de cœur pour des lumières fugitives qui peuvent faire d’un paysage banal un tableau unique.

La lumière n’attend pas, il faut saisir l’instant, c’est la photo qui est la création de l’œuvre, après c’est un long travail d’artisan en atelier.

On trouve encore des amateurs de peinture figurative d’où quelque succès dans les expositions collectives régionales : entre-autres Prix des salons :  Fronton, Castelmaurou, Soual, Sorèze, Cannes, et rappelé chaque année par la Société des Artistes Indépendants pour Le Salon au Grand Palais à Paris.

A retrouver dans l’annuaire internet des Artistes d’Occitanie.

Christian Saint-Sernin

Âgé de 70 ans, Christian Saint-Sernin est un artiste passionné dont le parcours créatif a débuté en 2005. Artiste dans l’âme, il a d’abord exploré le monde du dessin et de la peinture en autodidacte.

Cette passion innée l’a conduit à suivre des cours pour perfectionner sa technique au pastel, un medium qui lui permet d’exprimer toute la richesse de ses émotions.

L’artiste se distingue par son goût prononcé pour les portraits exotiques, capturant la beauté et la singularité de ses sujets avec une sensibilité unique.

En parallèle, Christian Saint-Sernin aime également représenter des paysages cherchant à immortaliser la splendeur de la nature à travers son regard artistique.

Parmi ses inspirations, le célèbre peintre Vermeer de Delft occupe une place particulière dans son cœur, Christian admire la manière dont il parvient à sublimer la lumière dans ses œuvres.

Depuis deux ans, Christian a opéré un tournant audacieux dans son style artistique, tant dans le graphisme que dans l’utilisation des couleurs. Il a commencé à représenter ses peintures à travers des polygones, cette approche géométrique et contemporaine reflète une volonté d’innovation et d’expérimentation tout en demeurant fidèle à son amour pour les portraits et les paysages.

Pascale Dalet Hyllaire

L’art m’a attirée très jeune, particulièrement la sculpture et ses merveilleuses œuvres classiques.

Après quelques essais de taille directe, je me suis tournée vers le travail de la terre, immédiatement séduite par son contact, sa texture, sa douceur.

Je me passionne alors pour la réalisation de modèles féminins mais, très rapidement, le thème de l’enfance s’impose à moi comme une évidence.

C’est ainsi que depuis quelques années, en parallèle de mon métier d’infirmière, je crée mes sculptures, passant du soin et de la réhabilitation du corps à sa sublimation par l’art, dans la pureté de l’enfance.