
Daniel SOUM
Tout jeune, Daniel Soum apprend la peinture à l’huile en plagiant des œuvres de maîtres impressionnistes puis tombe amoureux d’un tableau du célèbre paysagiste hollandais Jacob Van Ruisdael (1628-1682) ; coup de foudre qui transformera définitivement sa vue de la peinture et la facture de ses œuvres.
Autodidacte à 17 ans, il compose ses œuvres, expose déjà en galerie ; l’ampleur de son succès lui vaut l’appellation de « jeune génie de la peinture » par la presse.
Après quelques créations, il abandonnera ses pinceaux pendant 16 ans pour se consacrer à un autre art, la réalisation d’escaliers bois de style.
Le démon de la peinture viendra le taquiner en 1985 ; il sr remettra à composer lentement, exposera, et pour la deuxième fois de sa vie d’artiste, le succès sera immédiat.Sa peinture, son style et ses couleurs sont hors du commun et seront appréciés au plus haut niveau par public et jury. Parmi de grandes expositions, le Carrousel du Louvre à Paris…
Aujourd’hui international, en pleine maturité artistique, il nous offre de somptueuses compostions où la nature est reine.En septembre 2013, la finesse de son art lui permettra de représenter la France à un symposium international en Ukraine à Koctebel sur la Mer Noire. Il y côtoiera des artistes internationaux d’une humilité et une richesse humaine intense laissant un souvenir impérissable.
Afin de transmettre son savoir artistique, il s’est engagé à communiquer sa passion, à démontrer sa technique en public et œuvrer à l’enseignement de son art avec générosité.
Clémence Caruana
Peintre professionnelle depuis 2014, je réalise mes portraits félins à la peinture acrylique sur toiles de lin.
En quête constante de lumière, le Clair-obscur s’est imposé à moi comme un langage essentiel. Fragile équilibre entre l’Ombre et la Lumière.
Rester dans la suggestion, Laisser vivre l’obscurité…
Le vide n’est pas une simple absence, mais un espace de réflexion.
C’est dans ce dialogue entre ombre et lumière, que mes œuvres puisent leur essence.De l’obscurité, jaillit la lumière
« L’Elégance du clair-obscur prend vie sous les pinceaux de Clémence Caruana. A travers ses tableaux, elle capture l’âme, sublime la présence ; Harmonie subtile entre la sobriété du noir et l’éclat du blanc.
Parfois, ses jeux de structure avec de la matière, ajoute une dimension graphique et très contemporaine à ses œuvres. Son talent remarquable transporte chaque spectateur dans un univers à la fois puissant et délicat, l’Art comme une ode au Sauvage et à l’Esthétique pure »
#Eclatdinspirations
Såndrÿne (Toupart)
Depuis toujours, je crée de mes mains, je transforme les matières. Mon ancienne vie professionnelle en tant qu’ergothérapeute m’a engagée à continuer toutes ces pratiques manuelles ; celle de formatrice à continuer de créer, de toujours être en mouvement, celle de biopraticienne à engendrer des mouvements énergétiques en accord avec le vivant.
Les différentes rencontres d’artistes et d’artisans au cours de ma vie, m’ont orientée sur la voie de la création. Isabelle Magoni, artiste sculpteur, à ce jour décédée, a été mon guide dans mon apprentissage et notamment dans celle de la patine de l’argile.
Ma seule véritable influence, je crois, c’est la vie, le mouvement, la nature.
Depuis 2005, je sculpte l’argile et quand, je sculpte, c’est comme une méditation : j’entreprends mon rituel d’installation. Ensuite, c’est une envie, une idée, une pensée qui
m’amène à élaborer un bloc d’argile plus ou moins important, plus ou moins large, plus ou moins haut. Parfois, c’est l’envie du travail d’un certain volume d’argile qui
m’emporte. En effet, l’énergie à impulser sera différente selon le volume du bloc, les contraintes seront différentes. Puis, je procède comme pour le bois : j’enlève de la
matière. La « magie » commence alors à opérer, je caresse les formes ou les cisaille, selon l’idée initiale. J’observe les formes, les lignes et tout se modèle au fur et à mesure !
Parfois, l’argile et les patines sont simplement là pour sublimer une œuvre de la nature : le bois, le vent, la lumière, l’argile elle-même, le mouvement… C’est ce que je nomme : l’art agile de l’argile !
Durant tout ce cheminement, à chaque inspiration, la sculpture est susceptible de changer de voie, d’espace, de configuration, voire de finalité ! Rien n’est figé !
L’intellectualisation des choses s’impose bien après : une fois l’œuvre achevée, vient le moment de la personnifier. Qui est cette sculpture ? Qu’a-t-elle voulu exprimer ?
Pourquoi ? Et, peu à peu, son nom apparaît. Voilà : la sculpteure est enfin née !
Je vous souhaite une belle aventure au coeur et au creux des formes et des mouvements.
Pas de figuratif ou si peu… une invitation au lâcher prise !